Dans le couloir, Zoey rejoint Jackie qui se dirige vers la pharmacie.
Zoey : Devine qui est de retour. Ok, je vais te le dire. Cantasha, aussi connue sous le nom Candace et Natasha.
Jackie : On est en train de parler de patineurs ?
Zoey : Ils étaient aux admissions et nous ont hurlé dessus toute la journée la dernière fois. Le gamin a mangé trois sacs de Nachos, et une cannette de 7up ... totalement dégoutant !
Jackie : Donc personne n'est malade.
Zoey : Personne n'a jamais été malade. Ils sont toujours là et ils ne sont jamais malades.
Jackie : En attendant... Tu as à faire dans la pharmacie ?
Zoey : Non.
Jackie entre dans la pharmacie.
Jackie : Pourquoi tu envoies des SMS à Tunie ?
Eddie : Elle m'en a envoyé en premier.
Jackie : C'est ma belle-sœur, Eddie. Qu'est-ce que tu fais ?
Eddie : J'essaye de voir si tu as une jambe pour te reposer dessus.
Jackie : Oui, ben, quoi qu'il en soit. Ça ne fait rien. Tu sais quoi ? Oublie. Vas-y. Mais juste pour que tu saches, elle s'est levée au milieu de la nuit pour hacker l'adresse mail de son ex-petit ami, qui est pilote, soit dit en passant.
Eddie : Et pourquoi tu me dis ça ?
Jackie : Parce que je ne veux pas que tu te fasses coincer là-dedans.
Eddie : Ok. C'est un peu difficile, c'est tout ce que je dis;
Jackie : Je ne suis pas venue pour ça.
Eddie : Tu veux un petit peu de valium pour décompresser?
Jackie : Il n'y a pas de pression, Eddie, ok ? Pas de pression.
Dans le couloir.
Thor : Oh mon dieu !
Jackie : Pas maintenant, Thor !
Thor : Tu vas mourir.
Jackie : Oui, un jour certainement. Oui, éventuellement.
Une urgence arrive.
Ambulancier : Homme de 35 ans, blessure par balle à la tête. Trouvé inconscient à Tompkins Square. Sa pression chute, pouls à 50. Le gars aurait été pris entre 2 feux. C'est un passant qui a appelé.
Coop : La balle est ressortie ?
Ambulancier : Elle est toujours à l'intérieur.
O’Hara : Des bonnes nouvelles?
Ambulancier : C'est plutôt chouette à l'extérieur.
Coop : Merde, elle s'enfonce. Jackie !
O’Hara : Où est Jackie ?
Jackie a caché sa réserve dans le plafond d’un local désaffecté. Les cachets ont été rongés par des rats.
Jackie : Qu'est ce que... Jésus. Oh, les sales rats. Fais chier!
Le patient vient de mourir.
Coop : Fais chier!
O’Hara : Fais chier! 11 h 15 du matin.
Coop : Vraiment ravi que tu étais là.
O’Hara : Pour quoi ?
Coop : Tu sais, 2 docteurs au lieu d'1. Si c'était moi... Je veux dire... Nous sommes tous deux très bons. Et c'est pas comme si, toi, tu l'avais perdu, ou bien moi. Nous l'avons perdu tous les 2. C'est une sorte de nettoyage, non ?
O’Hara : Est-ce au sujet du poste de chef?
Coop : Écoute, je te respecte en tant que docteur, mais je te respecte également en tant qu'adversaire.
O’Hara : Une des nombreuses différences entre vous et moi, Dr Cooper, c'est que vous comptez des points sur des choses qui n'ont pas à l'être.
Coop : Vous aurez besoin de ces capacités d'adaptation en tant que subordonnée.
O’Hara : N'importe quelle femme sous vos ordres en a eu certainement besoin.
Coop : Bâtons dans les roues. Va falloir rebondir. Je déjeune avec mes mamans au Boathouse... à Central Park.
O’Hara : Comme c'est romantique.
Coop : Des pancakes au fromage. C'est vrai.
Coop sort, Jackie entre.
Jackie : Puis je te poser une question?
O’Hara : Non, sauf si tu veux une réponse.
Jackie : Je le préparerais pour la morgue sauf si tu rentres à temps.
O’Hara : J'ai des doutes.
Jackie : Oui, je sais. Va prendre ton café et laisse-moi m'occuper de lui.
O’Hara : Béni soit votre cœur.
Au bureau des entrées
Candace : Nous étions déjà la semaine dernière. Ma fille peut à peine respirer et ça fait deux heures qu'on nous fait attendre. Elle a de l'asthme.
Zoey : Comme je vous l'ai déjà dit, on ne peut pas soigner votre fille tant que vous n'avez pas rempli le formulaire..
Candace : Comme je vous l'ai déjà dit, vous avez déjà toutes les informations me concernant dans votre putain d'ordi. Demandez à Ina Arie là. Il me connaît.
Sam : Pouvez-vous juste respecter les règles s'il vous plait?
Natasha : Est-il au moins éveillé ?
Zoey : Il a ses propres vibrations.
Jackie : Candace, que nous vaut donc ce plaisir?
Candace : Asthme, comme la dernière fois. Natasha n'arrive pas à respirer et ces 2...
Jackie : C'est parti.
Candace : Coucou, elle n'arrive pas à respirer.
Jackie : Très bien, nous vous recevrons quand nous vous recevrons. Et nous vous recevrons. En attendant, des gens essayent de mourir ici. Asseyez-vous.
Sam : J'ai vu cette femme dans quasiment tous les hôpitaux où j'ai bossé en intérim. Mon dieu, les papiers peints sont... déments.
Jackie : Oui, et bien, plus ils font de visites à l’hôpital, plus ils obtiennent de l'assistance. C'est plutôt simple. Alors mets les dehors.
Akalitus : Avez-vous déjà volé quelque chose une fois dans votre vie ?
Jackie : Oui, plusieurs fois même.
Akalitus : Bien. Chapelle, une demi-heure. Emmenez Thor.
Jackie : Compris.
O’Hara : Comment est la douleur ?
Lou Babiak : Pas trop mal.
O’Hara : Ne seriez-vous pas un sacré menteur ? Je trouve ça toujours aussi remarquable de prendre un taxi.
Lou Babiak : Dernièrement, on appelait ça une ambulance. C'est beaucoup d'attention... plus que ce que je mérite.
O’Hara : Vous êtes sûr que vous n'êtes pas Anglais ?
Lou Babiak : Je ne suis sûr de rien.
Jackie : Lou, quelle agréable surprise. Je veux dire, agréable pour moi. Probablement pas pour vous. Vous avez fait une chute, hein ?
Lou Babiak : C'est une chance de se rappeler du nom des gens, mais c'est plus difficile pour moi, je n'arrive pas à me souvenir du votre. Pardonnez-moi.
Jackie : Pas de soucis. Vous êtes un homme très occupé. - Jackie.
Lou Babiak : Jackie! Lou, Lou Babiak.
Jackie : C'est bon de vous revoir.
O’Hara : L'hypertension de Mr. Babiak l'a de nouveau fait tomber, il s'est cassé le poignet et il s'est abîmé une dent.
Jackie : Que s'est-il passé avec les médicaments, si vous permettez ?
O’Hara : Si vous voulez bien m'excuser.
Lou Babiak : J'ai perdu mon assurance santé. Cobra a abandonné.
Moi, ou n'importe qui, c'est ça ?
Jackie : Eh bien, vous n'êtes pas le seul, si c'est ce que vous sous-entendez.
Lou Babiak : Quand même, c'est humiliant. J'ai tout perdu... Mon boulot, mon assurance. 20 ans, j'ai toujours payé la pension alimentaire. Ils vont penser que je suis un perdant.
Jackie : Qui ?
Babiak : Mes enfants.
Jackie : Tout d'abord, rien ne vaut mieux que la vérité. Puis, sachez que nos enfants nous aiment aveuglément. Vous pouvez me croire, je compte là
Très bien, pourquoi ne pas vous habiller ? Nous allons vous libérer.
O’Hara : Bon, une ordonnance remplie. Alors, pas d'excuse. Revenez me voir dans un an quand elle sera expirée.
Babiak : Je ne sais pas quoi dire.
O’Hara : Ne dites rien. Je viens d'enfreindre la loi.
Jackie : Une ordonnance d'un an de médicaments ?
O’Hara : J'ai pris une feuille de ton carnet. Poursuis-moi en justice.
Jackie : L'imitation est la forme la plus sincère...
O’Hara : Et je ne peux vraiment pas complimenter ta garde-robe.
Jackie : J'aime bien mes fripes.
O’Hara : Non, désolée je ne peux pas.
Jackie : Akalitus veut qu'on la retrouve à la chapelle.
Thor : Très bien.
Jackie : Très bien ?
Thor : C'est dans les deux sens, non ?
Jackie : Tu m'en veux ?
Thor : Ce matin, devant l'ascenseur... C'était totalement méprisant. Tu m'as parlé comme si... comme si j'étais Zoé.
Jackie : Oh Jésus.
Thor : Et les coups bas continuent.
Jackie : Je suis désolée chéri. Je ne voulais pas être méprisante. J'ai tellement à faire à la maison.
Thor : C'est autre chose. Tu m'as même pas dit que tu étais mariée.
Jackie : Tu m'as même pas dit que tu étais diabétique. Il a fallu que je me retrouve au milieu de ce traumatisme.
Thor : Hmm, c'est une maladie.
Jackie : Pour moi, c'était personnel et j'ai juste pensé que tu voulais pas en discuter dans cette petite boutique des horreurs.
Thor : Essaies-tu de m'apaiser en citant une comédie musicale ?
Jackie : Oui.
Thor : Ça marche.
Jackie : Bien. Entrons.
Thor : Avant d'entrer, je veux m'assurer que tu comprennes bien pourquoi ça m'a blessé.
Jackie : Oh seigneur. Allons-y. - Qu'est-ce qu'il y a avec le matériel ?
Akalitus : Le diocèse dé bénit la chapelle.
Thor : Ca veut dire quoi ?
Akalitus : Ils prennent les statues.
Thor : Pour où ?
Akalitus : Staten Island.
Jackie : Oh merde.
Akalitus : De toutes les statues d'ici, c'est celle-ci qui m'importe le plus. Elle est grande. Et elle en a beaucoup dans la tête et je raconte. Aussi, elle ne porte aucun jugement c'est quelque chose sur laquelle je travaille C'est irrationnel, mais c'est la nature de la foi. On va la voler. Désolée de vous faire complices.
Jackie : Contente d'en être.
Akalitus : Vous n'êtes jamais venus. Comme vous êtes là, attachez Marie au chariot et suivez-moi.
Au restaurant. Coop a rejoint sa mère et Maureen.
Coop : C'est la dernière. Promis. Grand sourire. Non, trop sombre. Une autre.
Maureen : Seigneur.
Coop : La lumière devait être meilleure ici.
Maureen : Tu veux te dépêcher, Fitch ? Ma quiche refroidit.
La mère : Laisse-le prendre une photo, Maureen.
Maureen : Il en a pris une centaine depuis notre arrivée. Ces chaussures sont une honte. Tu ne peux pas les ôter ?
La mère : Il a des soucis aux pieds.
Maureen : Eh bien, ça ne lui vient pas de moi.
Coop : Un autre Bloody Mary.
La mère : Vas-tu arrêter ?
Coop : Grands sourires ! Je te chatouille. Parfait ! Bon sang, j'adore cet endroit. ooh, et j'adore ces pancakes!
La mère : D'accord, chéri, c'est bon. Pose ton téléphone et mange. Tu l'as eu ?
Coop : Ouais.
La mère : Génial. Tu l'as eu. Nous y voilà. Alors, quand deviens-tu chef ?
Coop : Ce n’est pas officiel, mais je le sens vraiment bien.
Maureen : Pourquoi ce serait toi avant un chirurgien ?
La mère : Maureen !
Maureen : Je veux juste qu'il soit réaliste sur comment ça marche. Elle est chirurgien. Il est docteur.
Coop : On parle de diriger, maman.
Bien sûr.
Maureen : Bon, si tu n'es pas pris, n'insiste pas et ne pars pas comme pour le foot et le groupe de jazz. On peut lui dire là ?
La mère : Non !
Coop : Me dire quoi ?
Maureen : Fitch, on a quelque chose à te dire.
La mère : Oui après notre un agréable déjeuner.
Maureen : Non maintenant.
Coop : Qu'y a-t-il ?
Maureen : On a des nouvelles dont on ne veut pas que tu en fasses un drame. D'accord ?
Coop : D'accord. C'est quoi ?
La mère : pourquoi as-tu besoin de le faire de cette façon?
Maureen : non, je ne l'ai pas fait de cette façon
La mère : Tu veux être gentille 5 min ?
Maureen : J'ai fait ce que tu m'as dit...
Coop : Vous êtes mignonnes. C'est quoi ?
La mère : Chéri... Ta mère et moi allons divorcer.
Maureen : Hein ? Et maintenant le menton.
Eddie est au téléphone.
Eddie : Qu'y a-t-il de si génial avec les pilotes ? Je veux dire hormis si tu travailles à la NASA, tu n'es qu'un chauffeur de bus dans le ciel.
Akalitus entre, avec Jackie et Thor qui pousse la statue de Marie sur un chariot.
Akalitus : Ça ne prendra qu'une minute. Vers l'arrière.
Eddie : Tunie, je te rappelle.
Akalitus : Merci par avance de votre coopération.
Eddie : O...ok? Très bien, on s'organise quelque-chose.
Akalitus : Depuis quand avez-vous un lit ici ? On s'en fout. Je ne veux pas savoir. Prenez soin d'elle.
Thor : Je pensais que c'était rangé ici, derrière la pharmacie.
Eddie : Oui, c'est ici que je range mon lit.
(à Jackie) : Écoute, elle m'a appelé, d'accord ? Elle est à l'aéroport. Elle est dégoutée et...
Jackie : Tu crains.
Devant le restaurant.
Maureen : Il le prend beaucoup mieux que je l'aurais pensé.
La mère : Fitch, chéri. Viens là qu'on en parle.
Coop : Tu veux en parler? Bien. Ça craint !
Maureen : S'il est juste venu pour s'asseoir sur cette barque et rouspéter, je prends un taxi.
La mère : Tu ne bouges pas. Chéri, tout va bien, vraiment. Nous serons toujours tes mamans. Il est juste temps de changer.
Coop : Tu quittes maman pour Dina, c'est ça ?
Maureen : Dina est ma collègue de travail, Fitch. En plus, elle est hétéro.
Coop : Tu étais hétéro aussi, à une époque, tu te rappelles ?
La mère : Chéri, ta mère et moi, nous nous aimons beaucoup, mais on ne supporte plus d'être dans la même pièce.
Maureen : Dina. Dina ! C'est ridicule !
La mère : A quelle point est-elle hétéro ?
Dans la salle d’attente de l’hôpital.
Jackie : Lou, tout va bien ? Vous savez, vous pouvez sortir. Avez-vous besoin de quelqu'un pour vous accompagner ?
Lou : Non, je suis parti, mais je... je suis rentré chez moi, puis je suis revenu. Je... hmm... je suis tombé. Pas littéralement, mais... enfin si, ça aussi, mais... je sens que je vais faire quelque chose de stupide.
Jackie : Ok.
Lou : Je ne savais pas où aller.
Jackie : Vous avez eu raison. Venez avec moi.
Jackie accompagne Lou au service psychiatrique.
Jackie : Combien dure l'attente pour une évaluation psychologique et un lit ?
Secrétaire : A quelle heure est son RDV ?
Jackie : Je viens de l'amener. Il n'a pas de rendez-vous.
Secrétaire : Alors il doit en prendre un. Et je n'ai rien avant jeudi prochain, donc...
Jackie : Ok, on sait toutes les deux qu'on peut arranger ça. Quel est l'équivalent des douleurs thoraciques, ici ?
Secrétaire : Reçu. Vous êtes débordés aux urgences ? Et bien, c'est pas le même genre de cas, ici, chérie. Pour pouvoir être consulté aujourd'hui, il faut qu'il ait un rendez-vous et un médecin référent.
Jackie : Je vous donnerai un de mes jours de congés.
Secrétaire : Ce sont les vôtres. Il m'en reste 11 de l'année dernière.
Jackie : Des enfants ?
Secrétaire : Oui.
Jackie : Je viendrai et leur administrerai personnellement leurs vaccins anti-grippe. Et je vous donnerai du Zofran en cas de nausées. Aidez-moi, s'il vous plait. Ce mec est sur le point de se mettre la tête dans le four.
Secrétaire : Vous le ferez aussi pour ma mère ?
Jackie : Absolument.
Secrétaire : Monsieur, pourriez-vous vous avancer ?
Jackie : Il s'appelle Lou.
Secrétaire : Bonjour Lou. Nous allons bien nous occuper de vous, ok ? J'ai juste besoin que vous remplissiez
ce formulaire pour moi.
Jackie : Vous pouvez vous passer de vos lunettes pour un moment ? Je veux changer le pansement.
Lou : Merci.
Secrétaire : Toujours besoin d'un médecin référent.
Jackie : O'Hara.
O’Hara examine Natasha.
O’Hara : Très bien, expire une nouvelle fois.
Jackie : Tout va bien ?
O’Hara : Splendide. Natasha semble être en super forme.
Candace : Elle a de l'asthme. C'est chronique.
O’Hara : je n'ai entendu aucun sifflement on va écarter ça. très bien ma chérie, tu connais le refrain. Prends une profonde inspiration et souffle aussi fort que tu peux
Candace : Ménage-toi, bébé.
O’Hara : les bougies de ton prochain gâteau d'anniversaire n'ont aucune chance
Candace : elle peut inspirer, elle peut expirer
Jackie : Dr. O'hara?
O’Hara : si vous voulez bien nous excuser
Jackie entraine o'Hara dans le couloir
O’Hara : Tout le monde a droit à des soins de santé décents.
Jackie : Dr si vous êtes malades, je vous soigne si vous faites semblant d'être malade, je vais faire semblant de vous soigner
O’Hara : en dépit d'une récente histoire. Je sais lorsque je suis victime d'une escroquerie
Jackie : très bien, on met ça de côté
O’Hara : vous feriez mieux de ne pas le faire
Jackie : bien, vous avez probablement raison quoi qu'il en soit, je pense juste que vous encouragez cette petite fille quand..
O’Hara : et mon dieu j'espère que j’ai raison, et par pitié arrêtez de vous imaginer que vous avez un tour d'avance
Candace : Tasha, dépêche-toi et habille toi
O’Hara : donc... vous avez été dans beaucoup d'hôpitaux qui se ressemblaient
Natasha : oui
O’Hara : plutôt ennuyant j'imagine les Salles d'attente sont des endroits misérables ; j'apprécie vraiment votre patience ; c'est beaucoup plus intéressant de ce côté ; tu n’as jamais pensé à être médecin? je parie que tu serais merveilleuse
Jackie : et elle continue Elle incite toujours les plus intelligents à devenir docteur. Les personnes les plus intelligentes que je connaisse sont les infirmières ; tu devrais devenir infirmière, c'est plus cool
Zoey : hey, Thor as tu déjà... - avec une femme?
Thor : privé. Qu'est ce qu'il y a au menu?
Zoey : privé!
Sam : une salade wrap
Zoey : je lui ai dit quand j'étais prête
Thor : J'aime ça quand je ne suis pas jaloux de la nourriture des autres
Zoey : Bon appétit a moi.
Un rat tombe du plafond devant Zoey.
Sam : hu, un rat mort
Jackie prend le rat et le jette dans la cuvette des WC
Jackie : tu as foiré ma cachette
Devant l’hôpital, Jackie croise Coop qui semble déprimé et se jette dans ses bras en pleurant..
Coop : si vous voulez ruiner la vie de vos enfants, divorcer
Jackie : ça va?
Coop : j'en avais besoin Whew. Vous savez ce que je vais faire? je vais aller guérir quelques personnes.
Plus tard, Jackie est dans le bar où elle sait rencontrer Bill, elle téléphone
Jackie : ok, chéri. laisse-moi parler à Fiona. Salut chérie je voulais juste m'assurer que vous étiez bien rentrées de l'école. Oui? c'était une bonne journée. C'est ce que tu as fait? oh... Oui, j'ai trop hâte de voir ça Ok, je t'aime aussi. Bye bye.
Bill : Quelle adorable surprise Bien, pas exactement une surprise
Jackie : Je n'ai qu'une seconde
Bill : Combien tu as?
Jackie : 200 dollars
Bill : Tu vas te lever et me serrer dans tes bras, les glisser dans ma poche et t'asseoir
Bill sort une médaille des 30 jours.
Bill : 30 jours clean et sobre. Pas moi, un de mes clients. Je devais la lui donner lors d'une réunion, mais elle n'était pas là.
Jackie : La prochaine fois peut-être
Bill : Non, elle est décédée. Elle est à toi maintenant. Soulève le dessus. Je suis ... pour toi
Serveuse : Vous voulez voir la carte ?
Jackie : Non, merci. Je suis pressée.
Jackie vient récupérer les lunettes de Lou Babiak qu’elle a fait réparer.
Vendeur : Peyton ? Jackie Peyton.
Jackie : merci.
De retour à l’hôpital, Jackie met la médaille des 30 jours et les cachets dans ses poches.
Jackie : Hey, tu peux donner ça au patient qui est dans cette chambre ? Merci.
Plus loin, elle croise un employé pour dératisation
Jackie : Les rats.